SITIO, le nouvel espace dédié au street art
Vous le savez maintenant, je suis un grand fan de Street Art. J’en mets régulièrement sur Instagram et j’en parle ici de temps en temps, que… Lire la suite »SITIO, le nouvel espace dédié au street art
Vous le savez maintenant, je suis un grand fan de Street Art. J’en mets régulièrement sur Instagram et j’en parle ici de temps en temps, que… Lire la suite »SITIO, le nouvel espace dédié au street art
Vous le savez, depuis quelques années, le Street Art est à la mode. On ne compte plus les projets de bâtiments qui sont investis par… Lire la suite »Exposition Watching You
Un petit article rapide pour vous parler d’un chouette événement street-art qui a eu lieu ce week-end à Lyon, TrubLyon. TrubLyon fait suite à un… Lire la suite »Retour sur TrubLyon
Si vous le suivez sur Instagram, vous savez que j’étais en vacances pendant 2 semaines en Irlande (j’essaie de vous montrer tout ça rapidement). Si… Lire la suite »La photo du mois : palette de couleurs
Et c’est à nouveau l’heure de la photo du mois. Pour rappel La Photo du Mois est un groupe facebook qui regroupe des blogueurs qui… Lire la suite »La photo du mois : le street art
J’ai l’impression de commencer tous mes articles de photo du mois de la même manière, en disant que je ne vois pas le temps passer…… Lire la suite »La photo du mois : les mains au travail
Si vous me suivez sur Instagram, vous savez que j’adore le streetart. J’adore flâner dans les rues, le nez en l’air à la recherche d’une œuvre qui me fera m’extasier en me faisant sentir comme dans une galerie à ciel ouvert. Et souvent, les streetartistes ajoutent en plus une touche humoristique à leurs œuvres. C’est le cas du stéphanois Oak Oak qui présente en ce moment des œuvres non pas dans la rue, mais à la Galerie Clemouchka, galerie spécialisée dans l’art urbain dans les pentes de la Croix Rousse.
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Parmi les nombreux acteurs culturels, j’ai toujours tendance à privilégier les « petits » indépendants plutôt que les gros mastodontes. Et s’il y a bien un acteur important de l’industrie culturelle qui me donne des boutons, c’est bien Disney. Je suis un fervent opposant à cette multinationale américaine dont l’activité principale est de faire de l’argent en lavant le cerveau de nos chères têtes blondes (et même les adultes) en oubliant le but premier de la culture, l’ouverture d’esprit.
Mais visiblement je ne suis pas le seul que cette « société du spectacle » (d’après l’expression de l’essayiste Guy Debord), puisque l’artiste Banksy, connu habituellement pour ses œuvres de streetart, vient d’ouvrir un parc d’attraction très particulier, Dismaland.
Peut-être vous rappelez-vous de la Tour 13, l’événement street art qui s’est déroulé à Paris à l’automne dernier. Une tour promise à la démolition avait été investie du sol au plafond par des street artistes invités par la Galerie parisienne Itinérance. Le résultat avait été ouvert au public pendant tout le mois de novembre avant que la tour soit détruite.
Le galeriste franco-tunisien Medhi Ben Cheick à l’initiative du projet a décidé de récidiver, mais cette fois dans son pays d’origine. Il a invité plus de 100 artistes de 30 nationalités différentes à venir décorer les murs d’un petit village, Erriadh, situé dans un coin isolé de l’ile touristique de Djerba, le transformant en véritable musée à ciel ouvert qui a été baptisé Djerbahood.