C’est arrivé près de chez vous

 11/09/2011

Vous ne l’avez certainement pas remarqué, mais dimanche dernier, j’ai posté mon 200ème article. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi, ça veut dire beaucoup. Ca veut dire qu’il était libre… J’ai cogité un peu (j’ai dit un peu), pour vous sortir de mon chapeau un article super sympa, sur un sujet qui me tenait à cœur, etc, etc.. mais pas trop eu l’inspiration et la news sur Björk m’a paru plus intéressante. Puis le temps est passé, la routine a repris le dessus, etc, etc…

Mais en y repensant, j’ai trouvé un super sujet. La semaine dernière, avec des potes,  on a revu un de mes films préférés que je n’avais pas vu depuis très longtemps : C’est arrivé près de chez vous. Toute le monde en a entendu parler, la plupart d’entre vous l’ont vu (et revu), mais j’avais envie de vous en parler brièvement quand même. (Après tout, je suis chez moi, je fais ce que je veux)

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Pour rappel, ce faux documentaire belge en noir et blanc est sorti en 1992 et a même fait partie de la sélection officielle du festival de Cannes. C’est le film qui a véritablement révélé Benoit Poelvoorde. Il y joue (magnifiquement bien) un serial killer qui est suivi par une équipe de tournage pour faire un film sur lui. Ils le filment donc « en plein travail », c’est-à-dire lorsqu’il tue ses victimes, souvent des gens faibles et/ou sans défense (« je préfère travailler petit mais que ça rapporte beaucoup » comme il dit). Les (nombreux) meurtres (et même viols) étant tous plus horribles et cyniques les uns que les autres. La personnalité narcissique de l’assassin qui se veut poète et sauveur du monde rajoute également un élément comique non négligeable.

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Ce petit bijou d’humour noir est devenu culte, et beaucoup de gens (dont moi, j’avoue) connaissent la plupart des répliques par cœur à force de le voir. Si vous ne l’avez jamais vu, je vous incite vraiment à le regarder. Peut-être vous faudra-t-il vous forcer la première fois, car à force d’en entendre parler, vous avez sûrement des réticences. Mais en y repensant (et surtout en ne prenant pas la chose au premier degré), je suis sûr que vous le trouverez drôle aussi.

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Voici quelques petits extraits qui devraient rappeler de bons souvenirs à ceux qui l’ont déjà vu.

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Mamie Tromblon :

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Le veilleur de nuit noir :

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L’urbanisation :

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Le poème du pigeon :

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Et vous, quel est votre passage préféré ?

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