23/01/2011
Depuis quelques années, Clermont Ferrand n’est pas loin d’être devenue la capitale française du rock (ou de la musique, pour être moins restrictif). La très dynamique salle de la Coopérative de Mai soutient de nombreux projets depuis sa création en 2000 et notamment ceux de The Delano Orchestra (vus l’année dernière à l’Epicerie Moderne), Kaolin (dont le dernier album est sorti en octobre, mais un peu passé inaperçu…), The Elderberies, Mustang, Zack Laughed (également vu à l’Epicerie Moderne) et enfin donc, Cocoon.
Cocoon est un joli duo pop qui a été repéré rapidement, puisqu’ils ont gagné le concours CQFD (Ceux Qu’il Faut Découvrir) des Inrockuptibles (rebaptisé Les Inrocks Lab cette année) en 2007 soit un an après leur formation.
Ils sont ensuite repérés par les publicitaires notamment grâce à cette chanson :
Leur deuxième album, Where the oceans end, sorti en fin d’année dernière est de la même veine : de belles mélodies mélancoliques, mais pas trop, rythmées, mais pas trop, etc… Le single tourne en boucle sur les (bonnes) radios :
Mais je suis dégouté, car j’ai trop attendu pour prendre ma place pour le concert du 14 février à Lyon. Vu que je ne faisais rien ce soir là, en plus…
Alors ça, ça nous fait toujours beaucoup rire. Quand on lit ici et là que Clermont c’est la nouvelle capitale du rock, y’a l’Auvergnat qui se met à brailler puis à pleurer. Parce que lui, ben il a longtemps habité à Clermont. Et il était désespéré parce qu’à son époque, la coopérative n’existait pas et qu’à part les groupes amateurs qui font des reprises de U2 dans les pubs le samedi soir, ben c’était le vide intersidéral. Ah si, il a vu Stéréophonics à la Fnac. Le seul truc vraiment « waouh » en 20 ans…
Retour de ping : Bilan de mars | Who cares, really ?
Retour de ping : Johnny | Who cares, really ?
Retour de ping : Jacques Higelin – Stephan Eicher | Who cares, really ?
Les commentaires sont fermés.